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CHERIR NOTRE MONDE

Nous avons passé la nouvelle lune du 14 décembre 2020 avec l'éclipse du soleil. Nous sommes entre deux, juste avant le solstice d'hiver du 21/12.

Entre deux, comme une attente,

Les directives à l'extérieur se bousculent, « on a le droit de ...on n'a plus le droit...., on peut sortir, oui mais.....). La mutation extérieure continue.

J'ai pour habitude le matin, de lire la presse dite spirituelle, ou de développement personnel.

A chacun ses médias, à chacun ses moyens d'informations, suivant ses croyances.

Multitudes d'informations. Et ce matin, une évidence.Les unes et les autres sont , aussi alarmantes. D'un côté, un virus qui nous prive de notre humanité, dans tous ses aspects essentiels, et de l'autre, une catastrophe positive pour notre changement qui nous épargnera si nous restons dans la joie et la sérénité.

Oups......J'ai dû manquer une étape.

Ou alors, je me suis vraiment trompée de planète en programmant mon incarnation. Planète où l'on vient expérimenter l'amour. Ca paraît fou, dit comme ça, et pourtant !

D'un côté, les médias qui reprennent les infos en continu et les développent de manière alarmiste, et de l'autre des médiums, canaux et autres portes paroles de la source qui nous préparent au pire en nous rassurant du meilleur.

En fait, le processus est le même. Il utilise, notre ego, notre soif d'information et notre besoin de lien. La sensation d'être reliés aux autres. Mais en fait, ce qui nous relie, à ce niveau là, c'est la peur.

 

Et que dire des commentaires, dans les deux camps, des torpilles outrancières parfois, facilitées par l'anonymat, comme si la toile était utilisée comme bras armé et dégageait de toute responsabilité.

 

Quand j'observe les deux opposés, je vois, d'un côté...de la peur....et de l'autre côté....de la peur.

Finalement, pas grand chose les sépare. De simples humains, avec tous leurs côtés sombres et  leur belle lumière. L'humain dans sa dualité.

 

Ce qui me surprend le plus, c'est que même en se mettant un peu à l'écart, la peur vient nous chercher, nous titiller là où nous pensions être libérés de nos casseroles du passé.

Rien n'échappe à ce karcher qui nous nettoie en profondeur. Chaque cm2 du tapis est soulevé, aucun espace n'est épargné.

 

 

Oui, nous vivons une période difficile. C'est une évidence. Je suis une fidèle lectrice de « Dialogue avec l'Ange » de Gitta Mallasz. J'ai l'impression de revivre leur époque. Même mes songes, qui me préparent depuis de nombreuses années, sont en deça de la réalité.

 

Passé ce lâché de flux d'encre, qui me fait du bien, revenir dans son axe et prendre de la hauteur.

 

J'ai bien conscience que notre monde ne peut pas continuer comme cela. Les valeurs essentielles de notre humanité ne sont plus respectées, tant dans notre quartier que sur toute notre planète ; notre chère planète, vidée de son essence pour permettre l'enrichissement d'un petit nombre. Bien sûr que cela ne peut pas durer.

 

Environ neuf mois depuis le début de cette révolution virale. Le temps d'une gestation.

 

La notion de temps est une dimension humaine. Il y a eu le passage de l'an 2000, 2012, aujourd'hui 2021. Ce ne sont que des passages, tout est passant. Rien n'est immuable et ne l'a jamais été.

 

Une seule chose est intemporel, c'est la foi, cette flamme intérieure, ce feu igné.

Donner toute la place à cette foi, peut nous aider à passer ce cap. En tout cas, cela m'aide.

Dans l'accueil des émotions. Ne pas faire comme si elles n'étaient pas là. Car elles se feront alors de plus en plus présentes. Mais se dissocier d'elles et transformer leur énergie.

Accueillir l'émotion, l'écouter, accepter ce qu'elle nous montre, la remercier et la laisser aller dans la lumière.  De nombreux outils sont à notre disposition pour nous aider,  comme les accords toltèques, le ho'oponopono etc...Les musiques à hautes fréquences vibratoires peuvent aussi par leurs fréquences de guérisons,  nous accompagner.

 

Et revenir inlassablement dans notre centre. Cela demande une vigilance constante et une certaine discipline. Cela nous ramène aussi à notre responsabilité. Pas toujours facile à accepter.

Parler de ce que vous ressentez, ouvrez vous, ne restez pas enfermé avec votre souffrance intérieure.

 

Beaucoup de beaux messages d'amour aussi sur la toile et je remercie chaleureusement leurs auteurs. On pourrait se croire décaler, différent. Je crois, au contraire, que la majorité d'entre nous, ressentons une difficulté réelle. Au delà du virus, il y a aussi cette réalité économique. Et tout cela, bien évidemment ne nous rassure pas.

Il me reste si peu de certitudes, elles sont balayées par les expériences. Sauf une. ce qui nous relie vraiment, ce n'est pas la peur. C'est l'amour. Cette conviction est chevillée en moi, gravée dans mes profondeurs.

Chacun ressent en lui ce qui est juste pour lui. Personne ne peut prétendre à votre place ce qui est juste pour vous. Chacun avance suivant son chemin, en essayant d'apporter sa contribution à la collectivité. La mienne, c'est par l'accompagnement individuel et collectif, les formations  et par la méditation.

 

 

Quelles que soient les informations de par et d'autre et les évènements

gardons confiance en notre humanité au delà des apparences

et continuons à chérir notre monde.

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